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  • Voici combien l'État paye par an pour le train de vie du couple Macron !

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    Voici combien l'État paye par an pour le train de vie du couple Macron !

    Les dépenses engendrées par Brigitte et Emmanuel Macron à l'Élysée ont été rendues public par la Cour des comptes. Zoom.

    Comme chaque année le couple présidentiel a fait beaucoup de dépenses. Le mercredi 29 juillet la Cour des comptes, chargée de surveiller les dépenses qui émanent de la présidence de la République, mettait en avant le train de vie de Brigitte. Dans son rapport, elle dévoile certaines sommes renversantes.

    Avec ses quatre collaborateurs, ses six bureaux et sa coiffeuse attitrée, le budget de la Première dame s’élevait à 279.144 euros en 2018.

    Les dépenses de Brigitte Macron

    Le bilan a mis en avant un point stratégique des dépenses de la Première dame. En effet, depuis trois ans l’épouse du chef de l’État a vu sa pile de courrier augmenter. Elle a reçu en 2019, 21.000 courriers contre 19.500 l'année précédente. Une augmentation qui a demandé l’emploi de 7 agents du service de la correspondance présidentielle.

    La Cour des comptes a donc estimé les dépenses de Brigitte Macron à 282.476 euros. Une hausse probablement en lien avec les salaires des membres de son cabinet. Ainsi, les dépenses de la Première dame n’ont pas amené une augmentation significative au budget de l’État.

    Le train de vie du couple présidentiel

    Les budgets sont scrutés à la loupe et quand certains frais ne rentrent pas dans le cadre de leurs fonctions, le couple doit naturellement rembourser. L'addition est vite salée. Par exemple, Brigitte et Emmanuel utilisent un avion présidentiel (ET 60) pour leur usage privé ils doivent rembourser près de 8.000 euros.

    En ce qui concerne leurs vacances la somme à rembourser est un peu moindre. Ce sont 5.403 euros que le couple a redonné à l'État en 2018 suite à leurs voyages à Honfleur, La Mongie et Brégançon.

    Le coût financier pour la sécurité du couple présidentiel

    La fonction de président a des atouts mais aussi des inconvénients. C'est une fonction à risques qui demande une sécurité maximale et ce pour chaque déplacement, même privé. Ainsi les frais liés à la sécurité du président sont importants. Près de 110.000 euros ont été dépensés pour la sécurité du couple Macron lors de ses vacances en 2018.

    Malgré cela dans le rapport un autre aspect positif a été mis en évidence.

    L’Élysée économe

    Selon la Cour des comptes, l’Élysée semble avoir été plus économe sur ses dépenses qu’en 2018. En effet, une baisse de 3,28% a été enregistrée soit une économie de 105,33 millions d'euros. Emmanuel Macron rentre donc dans ses frais.

    Les ressources de l’État ont quant à elles augmenté de 1,2%, passant ainsi à 106,3 millions. Un excédent dû en partie à la petite baisse d’activité du président de la République, depuis ces derniers mois.

  • “Cela n'a pas de sens” : Hollande prend le contrepied de Macron sur les masques à l’école

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    “Cela n'a pas de sens” : Hollande prend le contrepied de Macron sur les masques à l’école

    Dimanche 30 août, l’ancien président s’est prononcé en faveur de la gratuité des masques à l’école.

    À moins de deux ans de la prochaine élection présidentielle, comptez sur François Hollande pour se rappeler au bon souvenir de son successeur. Sur France 2, dimanche 30 août au soir, l’ex-chef de l’État a remis en cause le positionnement de l’exécutif quant à la gratuité des masques à l’école.

    Hollande critique l’utilisation des forces de l’ordre

    « Le masque étant quasi obligatoire dans l'enseignement public comme privé, il doit être gratuit pour tous, et fourni par l'éducation nationale », a-t-il jugé, ajoutant : « On fournirait des ordinateurs et pas de masques ? Cela n'a pas de sens ». Pour rappel, le gouvernement d’Emmanuel Macron n’a pas instauré la gratuité des masques à l’école. D’après BFM TV, le locataire de l’Élysée aurait même déclaré, devant la presse présidentielle : « On a eu un débat sur les masques gratuits sincèrement fou ! ». « Quel pays au monde distribue autant de masques gratuits que nous ? », aurait-il aussi interrogé.

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    Sur France 2, dimanche soir, François Hollande a aussi remis en cause le recours à la force publique par l’administration Macron. D’après lui, il y a eu « une utilisation des forces de l'ordre pas à la hauteur », notamment « pendant les manifestations des gilets jaunes », qui « a entraîné des dégradations et des violences ». 

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  • Coronavirus : Emmanuel Macron appelle les Français à la vigilance et à l’unité

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    Coronavirus : Emmanuel Macron appelle les Français à la vigilance et à l’unité

    PANDEMIE - Lors d’une cérémonie à Bormes-les-Mimosas, le chef de l’Etat a appelé à prendre pour modèle l’esprit ayant conduit à la libération de la France il y a 76 ans

    Les autorités ne cessent d’alerter les Français sur l’effort collectif à faire pour éviter une 2e vague de contaminations. A son tour, le président a profité de sa participation, comme chaque année depuis trois ans, à la cérémonie d’anniversaire de la libération de Bormes-les-Mimosas dans le Var pour alerter l’opinion. Emmanuel Macron a ainsi appelé lundi les Français à faire preuve de vigilance « face à un virus qui réaccélère » et « d’unité », en dressant un parallèle avec l’esprit ayant conduit à la libération de la France il y a 76 ans.

    Ne pas isoler les personnes vulnérables

    « A l’heure où notre pays, comme beaucoup d’autres, traverse une crise inédite, la crise sanitaire exige que nous nous protégions tous mutuellement, que nous soyons chacun responsable de tous », a déclaré le chef de l’Etat dans la commune sur laquelle se trouve le fort de Brégançon, la propriété de l’Etat où il passe ses vacances. « Nous aurons, dans les prochaines semaines, à continuer à affronter une crise sanitaire qui prend une forme différente (…) Il faut redoubler d’attention pour les personnes vulnérables (…), mais sans les isoler », selon le chef de l’Etat.

    Au cours de son allocution devant les élus et des anciens combattants, il a mis en avant des analogies entre la situation actuelle et celle ayant mené au débarquement des Alliés en Provence en août 1944 et à la victoire sur les Nazis. Il a notamment loué cette « unité, cette capacité d’agir ensemble, de donner de son temps » dont ont fait preuve les combattants de cette époque mais aussi « le pays » depuis le début de la crise du Covid-19. « C’est ce que nous aurons à continuer de relever dans les semaines et les mois qui viennent, devant la reprise de l’épidémie, face aux difficultés économiques, sociales, face aux crises internationales que notre pays aura immanquablement » à affronter, a-t-il ajouté.

    Retour sur la polémique mémorielle

    Au cours de son allocution, Emmanuel Macron est également revenu brièvement sur la polémique mémorielle qui a éclaté au début de l’été après la mort de George Floyd aux Etats-Unis. « Notre histoire est un bloc », a déclaré le président. « On en apprend toujours, nos historiens continuent de révéler la vérité, de mieux comprendre, l’historiographie poursuit son chemin. Mais ne cherchons pas à déboulonner des statues et à effacer des noms ».

    Emmanuel Macron doit séjourner jusqu’à la fin de la semaine au fort de Brégançon, où il recevra jeudi la chancelière allemande Angela Merkel avant de regagner l’Elysée. Il présidera lundi le Conseil des ministres de rentrée au cours duquel sera présenté le plan de relance.

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    20 Minutes avec AFP

  • Israël met en garde Macron de façon cash : “Quiconque ignore une organisation terroriste ne doit pas s’étonner qu’un matin tout explose”

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    La diplomatie israélienne s’est adressée lundi directement au président français Emmanuel Macron pour le mettre en garde contre la présence du groupe terroriste Hezbollah dans l’avenir du Liban.

    “Monsieur le Président Emmanuel Macron, l’avenir du Liban dépend d’une chose – l’éradication du Hezbollah. Quiconque ignore une organisation terroriste ne doit pas s’étonner qu’un matin tout explose”, a déclaré sur Twitter l’ambassadeur d’Israël à l’ONU, Danny Danon.

     

    Depuis l’explosion du port de Beyrouth, le dirigeant français occulte la responsabilité du groupe terroriste dans l’explosion et dans la grave crise économique, sociale et politique que traverse le Liban.

    Selon l’agence de presse Reuters, Emmanuel Macron aurait même conseillé au président Trump de lever les sanctions contre le Hezbollah, qui seraient selon lui “contre-productives”.

    La rédaction Le Monde Juif .info | Photo : DR

  • Solidarité avec le peuple Libanais

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    Solidarité avec le #Liban

     
    Drapeau du Liban ➔ Solidarité avec le peuple Libanais et les habitants de Beyrouth... Et j'adresse toutes mes «pensées et prières» aux victimes de ces explosions...  Chris Bénazeth Guillamon
  • Beyrouth meurtri par la double explosion accueille le président français Emmanuel Macron

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    Beyrouth meurtri par la double explosion accueille le président français Emmanuel Macron

    Alors que le président français Emmanuel Macron est attendu jeudi à Beyrouth, les secours continuent de chercher des victimes parmi les débris de la double explosion qui a ravagé la capitale libanaise. Des dizaines de personnes sont portées disparues.

     

    Deux jours après les violentes explosions qui ont réduit la capitale libanaise à une ville en état d'urgence et en proie au chaos, le président français Emmanuel Macron se rend jeudi 6 août à Beyrouth.

    Il est le premier chef d’Etat à se déplacer dans ce pays depuis la catastrophe de mardi. Il y sera confronté à une situation "apocalyptique", des centaines de milliers de personnes brutalement privées de toit et de ressources et un bilan encore provisoire d'au moins 113 morts et 4 000 blessés. 

    Attendu à Beyrouth à midi, Emmanuel Macron visitera le lieu de la catastrophe, s'entretiendra avec les principaux responsables libanais et donnera une conférence de presse vers 18h30 locales avant de rentrer en France.

    Plusieurs pays dont la France ont déjà dépêché des équipes de secouristes et du matériel pour faire face à l'urgence après la double explosion présentée comme accidentelle par les autorités qui a ravagé le port et une grande partie de la capitale.

    "La situation est apocalyptique, Beyrouth n'a jamais connu ça de son histoire", a lancé le gouverneur de la ville, Marwan Abboud, qui avait éclaté en sanglots mardi devant les caméras face au port dévasté. Jusqu'à 300.000 personnes sont sans domicile selon lui. L'état d'urgence a été décrété pendant deux semaines

    Des dizaines de disparus

    Les énormes déflagrations, les pires vécues par le Liban, ont été déclenchées par un incendie qui s'est déclaré dans un entrepôt abritant depuis six ans quelque 2 750 tonnes de nitrate d'ammonium, "sans mesures de précaution", selon les autorités. Elles ont pratiquement détruit le port et dévasté des quartiers entiers de Beyrouth, soufflant les vitres des kilomètres à la ronde.

    Une source officielle informée des premiers résultats de l'enquête sur les causes de la catastrophe a déclaré que l'explosion était le résultat de négligences et que ce point avait été examiné à plusieurs reprises par différentes commissions et par la justice sans que "rien ne soit fait" pour ordonner l'évacuation de ces matières extrêmement dangereuses.

    Selon Reuters, de source ministérielle, les autorités ont ordonné l'assignation à résidence des responsables portuaires chargés des entrepôts ou de surveiller les matériaux incriminés depuis 2014.

    Des dizaines de personnes restaient portées disparues mercredi selon le gouvernement, tandis que les secouristes poursuivaient leurs recherches dans l'espoir de retrouver des survivants.

    Cette tragédie frappe un pays plongé depuis des mois dans une très grave crise économique, marquée par une dépréciation inédite de sa monnaie, une hyperinflation, des licenciements massifs et des restrictions bancaires drastiques.

    Ses effets ont été encore aggravés par la pandémie de coronavirus, qui a contraint ces derniers mois les autorités à confiner pendant plus de trois mois sa population.

    L'Agence de l'ONU pour l'agriculture et l'alimentation, la FAO, dit à présent craindre à brève échéance un problème de disponibilité de farine pour le Liban, des silos de céréales installés près du port ayant été éventrés.

    La colère des Libanais

    Sous le choc, les Libanais ont crié leur colère face à cette catastrophe de trop. "Partez tous! (...) Vous êtes corrompus, négligents, destructeurs, immoraux. Vous êtes des lâches. C'est votre lâcheté et votre négligence qui ont tué les gens", a lancé un journaliste libanais connu, Marcel Ghanem, dont l'émission télévisée jouit d'une grande audience. Le mot-dièse "Pendez-les" circulait sur Twitter.

    L'importante diaspora libanaise a elle aussi réclamé des comptes. "Cette tragédie est une preuve de plus de l'incompétence de la classe politique qui a gouverné le Liban depuis plusieurs décennies", s'est indigné Antoine Fleyfel, philosophe et théologien franco-libanais, vivant en France.

    Selon des sources de sécurité, les autorités du port, les services des douanes et des services de sécurité étaient tous au courant que des matières chimiques dangereuses étaient entreposées au port mais se sont rejeté mutuellement la responsabilité du dossier.

    Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL) a de son côté annoncé mercredi reporter la lecture du jugement, prévue pour vendredi, dans le procès de quatre hommes accusés d'avoir participé en 2005 à l'assassinat de l'ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri, "par respect pour les innombrables victimes" des explosions.

    Avec AFP

  • EN DIRECT - Liban: 2750 tonnes de nitrate d'ammonium à l'origine des explosions, au moins 73 morts et 3700 blessés

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    EN DIRECT - Liban: 2750 tonnes de nitrate d'ammonium à l'origine des explosions, au moins 73 morts et 3700 blessés

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    L'explosion ressentie jusqu'à Chypre

     
    Les déflagrations au port de Beyrouth ont fait trembler les immeubles et brisé les vitres à des kilomètres à la ronde. Des dégâts ont été observés à l'intérieur du terminal de l'aéroport international, situé à neuf kilomètres du site. Le souffle a été ressenti jusque sur l'île de Chypre, à plus de 200 km. 
    Dans la soirée, l'institut américain de géophysique (USGS) basé en Virginie a précisé que ses capteurs avaient enregistré l'explosion comme un séisme de 3,3 sur l'échelle de Richter.

    La France envoie plusieurs tonnes de matériel sanitaire

     

    La France va envoyer un détachement de la sécurité civile et «plusieurs tonnes de matériel sanitaire» à Beyrouth, a annoncé dans la nuit le président Emmanuel Macron sur Twitter.

    Deux avions militaires (un A400M et un MRTT) décolleront ce mercredi de Roissy avec un détachement de la sécurité civile, composé de 55 personnes et de 15 tonnes de matériel, et un poste sanitaire mobile incluant 6 tonnes de matériel, permettant la prise en charge de 500 blessés. Les équipes devraient atteindre le Liban en fin d'après-midi.

    Une dizaine de personnels urgentistes doit également rejoindre au plus vite Beyrouth pour renforcer les hôpitaux avec le soutien de la CMA-CGM pour le transport, selon l'Élysée.

    Dès mardi soir, des éléments français de la FINUL sont intervenus sur place.

    Londres propose son aide

     

    Le Royaume-Uni s'est dit prêt mardi soir à aider le Liban. «Les images et vidéos de Beyrouth ce soir sont choquantes», a tweeté le Premier ministre Boris Johnson, adressant toutes ses «pensées et prières» aux victimes. «Le Royaume-Uni est prêt à apporter son soutien de toutes les manières possibles», a-t-il ajouté.

    Son ministre des Affaires étrangères Dominic Raab a quant à lui assuré la «solidarité» du Royaume-Uni à l'égard du peuple libanais, ajoutant que le pays est «prêt à offrir son aide et son soutien, y compris aux ressortissants britanniques concernés». Un «petit nombre» de membres de personnel de l'ambassade ont été blessés et reçoivent le cas échéant des soins médicaux, mais leurs jours ne sont pas en danger, selon un porte-parole du ministère.

    Le nitrate d'amonium à l'origine de nombreuses tragédies dans le monde

     
    Le nitrate d'ammonium désigné comme étant à l'origine des explosions par le gouvernement libanais est un sel blanc et inodore utilisé comme base de nombreux engrais azotés sous forme de granulés, et a causé plusieurs accidents industriels.

    L'un des tout premiers accidents fit 561 morts en 1921 à Oppau en Allemagne, dans une usine BASF. 

    En France, empilées en vrac dans un hangar de l'usine chimique AZF, dans la banlieue sud de Toulouse, quelque 300 tonnes de nitrates d'ammonium ont subitement explosé et fait souffler un vent de mort et de désolation sur la quatrième ville de France le 21 septembre 2001: 31 personnes sont mortes, et la déflagration fut entendue 80 km à la ronde.

    Aux Etats-Unis aussi, une terrible explosion à l'usine d'engrais West Fertilizer, à West au Texas, fit 15 morts en 2013. Un stock de nitrates d'ammoniums a explosé à cause d'un incendie d'origine criminelle; l'absence de normes de stockage avait été mise en cause par les enquêteurs.

    Le nitrate d'ammonium peut aussi être utilisé dans des engins explosifs. Le 19 avril 1995, Timothy McVeigh avait fait exploser une bombe fabriquée à partir de deux tonnes de l'engrais devant un bâtiment fédéral à Oklahoma City, tuant 168 personnes.

    Trois hôpitaux de campagne devraient être installés mercredi à Beyrouth

     
    D'après l'Agence nationale d'information (ANI), trois hôpitaux de campagne vont être installés ce mercredi à Beyrouth afin de désengorger les hôpitaux de la capitale, saturés. Le Qatar doit envoyer deux hôpitaux avec une capacité de 500 lits chacun. Le dernier hôpital sera envoyé par l'Irak.

    Les explosions au Liban «ressemblent à un terrible attentat», selon Donald Trump

     

    Le président américain Donald Trump a estimé mardi que les explosions meurtrières à Beyrouth «ressemblaient à un terrible attentat», sans donner plus de détails. Au début de sa conférence de presse quotidienne sur le coronavirus, il a transmis la «sympathie» des Etats-Unis au Liban et répété que son pays se «tenait prêt» à apporter son aide.

    Le président américain a ensuite affirmé que des experts militaires lui ont parlé d'une «sorte de bombe»«J'ai rencontré nos généraux et il semble que que ce n'était pas un accident industriel. Il semble, selon eux, que c'était un attentat, c'était une bombe», a-t-il déclaré à la presse

    2750 tonnes de nitrate d'ammonium à l'origine des explosions du port de Beyrouth

    Environ 2750 tonnes de nitrate d'ammonium étaient stockées dans l'entrepôt du port de Beyrouth qui a explosé mardi, provoquant des morts et des dégâts sans précédent dans la capitale libanaise, a dénoncé le premier ministre Hassan Diab.

    «Il est inadmissible qu'une cargaison de nitrate d'ammonium, estimée à 2750 tonnes, soit présente depuis six ans dans un entrepôt, sans mesures de précaution. C'est inacceptable et nous ne pouvons pas nous taire sur cette question», a déclaré le premier ministre durant la réunion du Conseil supérieur de défense, selon des propos rapportés par un porte-parole en conférence de presse. Le nitrate d'ammonium est un engrais chimique et également composant d'explosifs.

    Sur Twitter, Cheryl Rofer, une scientifique nucléaire américaine à la retraite, a également estimé que «la couleur rouge (de la fumée) indique vraisemblablement une explosion de nitrate d'ammonium».

    L'ambassade américaine conseille à ses ressortissants de porter des masques pour se protéger de fumées toxiques

     
    L'ambassade des Etats-Unis à Beyrouth a encouragé les ressortissants américains dans la capitale libanaise à rester à l'abri et à porter un masque pour se protéger d'éventuelles fumées toxiques. «Il y a des signalements de gaz toxiques libérés dans l'explosion, donc tous les habitants de la zone doivent rester à l'intérieur et porter des masques si disponibles», a indiqué l'ambassade sur son site.
     

    Gérald Darmanin exprime sa «solidarité avec les Libanais»

    Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a exprimé sa «solidarité avec les Libanais durement touchés ce soir». «Mes pensées vont aux victimes. Le ministère de l'intérieur se mobilise pour répondre à la demande du Président de la République d'envoyer rapidement des moyens de secours», a-t-il ajouté dans un tweet.

     

    Mike Pompeo propose l'aide des Etats-Unis après l'«horrible tragédie» de Beyrouth

    Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a proposé l'aide des Etats-Unis au Liban, qualifiant d'«horrible tragédie» les deux explosions qui ont dévasté Beyrouth mardi, faisant au moins 73 morts et 3700 blessés.

    «Nous surveillons la situation et nous sommes prêts à fournir notre assistance au peuple libanais qui se remet de cette horrible tragédie», a tweeté le secrétaire d'Etat américain.

    Beyrouth est une «ville sinistrée», annonce le Conseil supérieur de défense du Liban

    Beyrouth est une «ville sinistrée», a annoncé mardi le Conseil supérieur de défense du Liban, après les explosions meurtrières qui ont secoué le port de la capitale et provoqué des dégâts d'une ampleur sans précédent dans tous les quartiers de la ville.

    Le Conseil, qui réunit notamment le président, le premier ministre et la ministre de la Défense, «recommande» au gouvernement de décréter l'Etat d'urgence, selon l'agence nationale d'informations ANI. «Une catastrophe majeure s'est abattue sur le Liban», a déploré le président Michel Aoun à l'ouverture de la réunion.

    Des Casques bleus grièvement blessés à bord d'un navire endommagé par les explosions

    Des soldats de la mission de l'ONU au Liban (Finul), dont le navire était amarré dans le port de Beyrouth, ont été grièvement blessés dans les énormes explosions qui ont secoué la capitale libanaise, a annoncé mardi soir la Finul.

    Les marins blessés, «dont certains grièvement», ont été évacués vers «les hôpitaux les plus proches». Aucune indication n'a été fournie sur l'identité et la nationalité de ces victimes. «Nous sommes avec le peuple et le gouvernement libanais (...) et prêts à fournir une assistance», a ajouté la Finul, force multinationale de maintien de la paix présente au Liban depuis 1978.

    Nouveau bilan: au moins 73 morts et 3700 blessés dans les explosions

    Les puissantes explosions qui ont secoué mardi le port de Beyrouth ont fait 73 morts et 3700 blessés, selon un nouveau bilan fourni à l'AFP par un responsable du ministère de la Santé.

    Ce bilan est toutefois provisoire, selon le directeur général du ministère, Fadi Sanan. Plus tôt le ministre de la Santé, Hamad Hassan, avait assuré que les hôpitaux de la capitale étaient saturés par l'afflux des blessés.

    En images, Beyrouth en proie au chaos

    Des dégâts considérables, des blessés dans les rues, des hôpitaux surchargés ... La capitale libanaise est en proie au chaos depuis qu'elle a été touchée par deux explosions. Similaires à des scènes de guerre, les images immortalisent des habitants choqués, blessés mais aussi un personnel hospitalier contraint de soigner les victimes directement dans la rue. 

    IBRAHIM AMRO / AFP.

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    MOHAMED AZAKIR / REUTERS.

    STR / AFP.

    STR / AFP.

    Des membres du personnel de l'ambassade d'Allemagne parmi les blessés

    Des membres du personnel de l'ambassade d'Allemagne ont été blessés dans les fortes explosions qui ont secoué mardi le port de Beyrouth, a annoncé le ministère allemand des Affaires étrangères.

    «Il y a également eu des blessés parmi le personnel de l'ambassade. Compte tenu des dégâts considérables dans la zone urbaine de Beyrouth, nous ne pouvons exclure pour l'instant que d'autres ressortissants allemands figurent parmi les morts et les blessés», a expliqué le ministère. Les explosions ont au total fait 50 morts et 2.750 blessés. 

    Emmanuel Macron annonce l'envoi de secours au Liban

    Le président Emmanuel Macron a appelé mardi soir son homologue libanais, Michel Aoun, pour lui exprimer «son soutien» et annoncé l'envoi de «secours et moyens français», après les fortes explosions survenues à Beyrouth.

    «Il a exprimé son soutien et celui de la France au peuple libanais», a indiqué l'Elysée. «Des secours et des moyens français sont en cours d'acheminement», a ajouté la même source sans autre précision. 

    L'ambassade de France au Liban met en place «une réponse téléphonique» pour les ressortissants français

     
    «L’Ambassade de France est pleinement mobilisée pour porter assistance aux ressortissants français qui pourraient en avoir besoin»a tweeté dans la soirée l'ambassade de France. Si besoin, les ressortissants français peuvent appeler le numéro suivant: +961 1 420 292. 

    L'ambassade recommande de rester à son domicile s'il n'a pas subi de dégâts et «déconseille fortement de se rendre dans le secteur du port.»

    Vladimir Poutine: «La Russie partage le chagrin du peuple libanais»

    «La Russie partage le chagrin du peuple libanais», a déclaré le président russe, Vladimir Poutine, dans un télégramme de condoléances au président libanais, Michel Aoun.
  • “Mieux que l'autre folle de Ségo” : le SMS de Jean-Yves Le Drian envoyé par erreur à Ségolène Royal

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    “Mieux que l'autre folle de Ségo” : le SMS de Le Drian envoyé par erreur à Royal

    Alors qu’il discutait par texto avec Emmanuel Macron à propos du prochain ministre de l’Ecologie, le ministre des Affaire étrangères s’est trompé de destinataire. 

    Un chef de la diplomatie pas si diplomate… Le Canard enchaîné révèl

    e que le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian a contacté de son propre chef Ségolène Royal, début juillet, afin de la sonder pour un poste de ministre de l’Ecologie. Après cet appel, le chef de la diplomatie française a contacté Emmanuel Macron par SMS, pour lui rendre compte. Seulement, au cours de cet échange, il s’est trompé de destinataire et a envoyé un message peu flatteur à l’ex-candidate socialiste à l’élection présidentielle… 

    Un duel Pompili-Royal pour le poste

    Tout a commencé par un texte qu’Emmanuel Macron a adressé à certains de ses proches pour leur demander des idées de femmes de gauche pour le poste de ministre de l’Ecologie, explique le palmipède. Jean-Yves Le Drian a alors pris l’initiative d’appeler Ségolène Royal, pour la sonder, et cette dernière lui a dit que sa présence au gouvernement « n’aurait de sens que pour une politique plus sociale, plus écologiste, plus démocratique ». Le ministre a ensuite rendu compte au président de la République, qui lui a répondu : « Je ne sens pas du tout le truc », avant d’ajouter : « Et puis, il y a Pompili ». Jean-Yves Le Drian a alors répondu : « Pompili très bien, c’est quand même mieux que l’autre folle de Ségo ». Sauf que ce SMS n’a pas été envoyé au chef de l’Etat mais à… Ségolène Royal. 

    D’après Le Canard enchaîné, l’intéressée ne s’est pas démontée, et a envoyé un texto à Emmanuel Macron : « J’ai reçu un appel de Jean-Yves Le Drian pour avoir un contact avec toi. Tu m’appelles quand tu veux ». Sans réponse, Ségolène Royal annonce dès le lendemain, sur BFMTV, avoir été contactée « par un proche du président ». L’Elysée dément, mais finit par rectifier, en admettant « des contacts avec des membres de la majorité mais pas avec le président ni ses proches collaborateurs ».

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